La route des cols des Pyrénées
Mon prochain ouvrage, à paraître aux éditons Glenat en avril 2017 proposera une découverte originale et intimiste des Pyrénées en suivant deux routes emblématiques que sont la route des cols…
Mon prochain ouvrage, à paraître aux éditons Glenat en avril 2017 proposera une découverte originale et intimiste des Pyrénées en suivant deux routes emblématiques que sont la route des cols…
L’archipel du Cap-Vert, perdu au milieu de l’Atlantique s’ouvre au tourisme. On y pratique la randonnée, notamment sur l’île de Santo Antao. Ici tout est dépaysement. Ce qui ma le…
À quelques mois d’intervalle, deux randonneurs victimes de chute, sont proprement « boulottés » par les vautours avant que les secours n’arrivent. Tout le monde s’en offusque. Ce n’est pas…
« Val d’Azun, vallée heureuse » sont les mots qui reviennent le plus souvent dans la bouche des visiteurs et des habitants de cette riante vallée, perchée en balcon au-dessus d’Argelès-Gazost. Ici,…
Crée en 1970, le Sentier Cathare est un itinéraire que tout randonneur doit inscrire sur son palmarès. Tombé en désamour après un lancement an fanfare, la Balaguère a largement contribué…
Trente ans déjà que le diplôme d’accompagnateur en montagne est né. C’était hier. En regardant ma vie professionnelle dans le rétroviseur, je me rends compte qu’elle recouvre la profession depuis sa gestation, bien avant la création du diplôme. Lors de mes rencontres avec de jeunes accompagnateurs, il m’arrive d’être sidéré par le peu de connaissances qu’ils ont sur l’histoire de leur métier. N’étant plus qu’une poignée à détenir cette mémoire, Il peut donc s’avérer utile de la retracer.
Mon goût pour l’accompagnement s’est formé bien avant mon entrée dans la vie professionnelle. Ado, je fréquentais l’Œuvre Educative et Laïque de Montagne (OELM) dont les responsables, pour la plupart communistes, se réclamaient de Coucou Barrio, grand pyrénéiste, personnage atypique, instituteur et guide de montagne très engagé dans la jeunesse et la montagne sociale. J’ai baigné dans les valeurs dont les maîtres mots étaient : solidarité, effort et partage.
C’est ainsi que dans les années 1975 à 1980, au moment d’entrer dans la vie professionnelle, j’ai tout naturellement glissé du bénévolat vers les métiers de la montagne. L’époque était faste. On pouvait rêver sa vie et vivre ses rêves. J’ai successivement travaillé comme conducteur de chevaux à Gavarnie, pisteur, conducteur de chenillette, artificier et maître chien d’avalanche (principalement à Artouste), moniteur de ski, gardien du refuge de Migouelou, avant d’embrasser une profession qui n’existait pas encore, celle d’accompagnateur