Plateau du Benou, novembre 1903, le ski pyrénéen fait ses débuts.
En Novembre 1903 le palois Henri Sallenave, notoire touche-à tout de la montage, reçoit une paire de skis commandée à la Manufacture de Saint Etienne. Il enfourche le vélo, charge…
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La construction d’igloo est une activité idéale à faire en famille. Parents enfants, tout le monde s'y met avec sourire, bonne humeur et de l'huile de coude Tout le monde…
L'histoire des eaux d’Ogeu est intimement liée à celle des Pyrénées et à la mienne (aussi curieux que cela puisse paraître). Les eaux d’Ogeu proviennent de pluies tombées sur la…
« La Guara » pour les intimes est un massif petit par la taille mais grand par sa renommée. Classé Parc naturel, la sierra de Guara s’élève à une centaine de KM…
Trente ans déjà que le diplôme d’accompagnateur en montagne est né. C’était hier. En regardant ma vie professionnelle dans le rétroviseur, je me rends compte qu’elle recouvre la profession depuis sa gestation, bien avant la création du diplôme. Lors de mes rencontres avec de jeunes accompagnateurs, il m’arrive d’être sidéré par le peu de connaissances qu’ils ont sur l’histoire de leur métier. N’étant plus qu’une poignée à détenir cette mémoire, Il peut donc s’avérer utile de la retracer.
Mon goût pour l’accompagnement s’est formé bien avant mon entrée dans la vie professionnelle. Ado, je fréquentais l’Œuvre Educative et Laïque de Montagne (OELM) dont les responsables, pour la plupart communistes, se réclamaient de Coucou Barrio, grand pyrénéiste, personnage atypique, instituteur et guide de montagne très engagé dans la jeunesse et la montagne sociale. J’ai baigné dans les valeurs dont les maîtres mots étaient : solidarité, effort et partage.
C’est ainsi que dans les années 1975 à 1980, au moment d’entrer dans la vie professionnelle, j’ai tout naturellement glissé du bénévolat vers les métiers de la montagne. L’époque était faste. On pouvait rêver sa vie et vivre ses rêves. J’ai successivement travaillé comme conducteur de chevaux à Gavarnie, pisteur, conducteur de chenillette, artificier et maître chien d’avalanche (principalement à Artouste), moniteur de ski, gardien du refuge de Migouelou, avant d’embrasser une profession qui n’existait pas encore, celle d’accompagnateur