Randonnée festive en Val d’Azun.
Quel beau week-end que celui que j'ai organisé dans la val d'Azun. Le but était de marcher mais aussi de rigoler ensemble et de bien se taper la cloche…
Quel beau week-end que celui que j'ai organisé dans la val d'Azun. Le but était de marcher mais aussi de rigoler ensemble et de bien se taper la cloche…
« La Guara » pour les intimes est un massif petit par la taille mais grand par sa renommée. Classé Parc naturel, la sierra de Guara s’élève à une centaine de KM…
Les « Sentiers d’Emilie » sont des topos guides biens connus du public. Ils sont au nombre de 84. mon sentier d'Emilie en Aragon est le premier hors de l'hexagone . Compte…
Le Castillo Mayor dresse sa puissante silhouette rive droite du Rio Cinca. Le trajet voiture vaut à lui seul le détour. La montée est régulière sur un bon sentier "bâti…
Crée en 1970, le Sentier Cathare est un itinéraire que tout randonneur doit inscrire sur son palmarès. Tombé en désamour après un lancement an fanfare, la Balaguère a largement contribué…
Trente ans déjà que le diplôme d’accompagnateur en montagne est né. C’était hier. En regardant ma vie professionnelle dans le rétroviseur, je me rends compte qu’elle recouvre la profession depuis sa gestation, bien avant la création du diplôme. Lors de mes rencontres avec de jeunes accompagnateurs, il m’arrive d’être sidéré par le peu de connaissances qu’ils ont sur l’histoire de leur métier. N’étant plus qu’une poignée à détenir cette mémoire, Il peut donc s’avérer utile de la retracer.
Mon goût pour l’accompagnement s’est formé bien avant mon entrée dans la vie professionnelle. Ado, je fréquentais l’Œuvre Educative et Laïque de Montagne (OELM) dont les responsables, pour la plupart communistes, se réclamaient de Coucou Barrio, grand pyrénéiste, personnage atypique, instituteur et guide de montagne très engagé dans la jeunesse et la montagne sociale. J’ai baigné dans les valeurs dont les maîtres mots étaient : solidarité, effort et partage.
C’est ainsi que dans les années 1975 à 1980, au moment d’entrer dans la vie professionnelle, j’ai tout naturellement glissé du bénévolat vers les métiers de la montagne. L’époque était faste. On pouvait rêver sa vie et vivre ses rêves. J’ai successivement travaillé comme conducteur de chevaux à Gavarnie, pisteur, conducteur de chenillette, artificier et maître chien d’avalanche (principalement à Artouste), moniteur de ski, gardien du refuge de Migouelou, avant d’embrasser une profession qui n’existait pas encore, celle d’accompagnateur